La mort, douce sœur, nous sépare et nous lie,
Dans son silence, la souffrance grandit,
Mais au-delà des ombres, l’espoir fleurit,
Car en elle, Dieu nous attend, infini.
Les retrouvailles, promesse d’un autre jour,
Où l’abandon ne sera plus qu’un souvenir sourd,
Sous l’aile d’un ange, la bonté se déploie,
Comme un rayon d’amour qui jamais ne se noie.
Dans le vent, la souffrance se fait chant,
Mais la lumière divine éclaire l’instant,
De l’autre côté, où tout est réconcilié,
La mort n’est qu’une porte vers l’éternité.
Dieu, dans sa grâce, tend sa main,
Et l’âme, délivrée, s’élève enfin,
Retrouvant la paix dans ce royaume secret,
Où l’abandon cède la place à la clarté.
(ACJ)

La mort du corps, un souffle qui s’éteint,
Mais l’âme, elle, s’élève vers un chemin.
Elle quitte la chair, fragile et usée,
Pour rejoindre l’éternité, la paix tant désirée.
Dans l’invisible, un monde lumineux,
Où le paradis s’ouvre, radieux.
Un jardin sans fin, d’amour et de joie,
Où l’âme trouve sa voie, loin du froid.
Là, dans le ciel, une musique s’élève,
Un chant de louange que l’on rêve.
Les voix des élus, portées par la brise,
Chantent la gloire de Dieu, sans méprise.
La mort du corps n’est qu’un passage,
Un voile de brume, un dernier courage.
Mais l’âme, indestructible, trouve son port,
Dans le paradis, au-delà de la mort.
(ACJ)

La mort n’est qu’un passage vers ailleurs,
Un voile qui s’élève, une lueur
Dans l’ombre de nos vies fugaces,
Un mystère où se dissolvent nos traces.
Elle n’est pas la fin, mais un seuil,
La frontière douce entre deux merveilles.
Seule la mort du corps réel
Peut nous défaire de cette peau mortelle,
Mais elle n’efface pas ce qui perdure,
Ce souffle sacré, cette essence pure.
Car la mort, avec sa grande sagesse,
Nous apprend que nous sommes bien plus que la faiblesse
D’un corps qui se fane, qui tombe et se brise,
Elle nous enseigne que l’âme, invisible, se fraye une brise.
L’âme survit à la destruction du corps,
Elle traverse les âges, elle ne dort,
Elle est le souffle éternel, l’énergie infinie,
Que rien ni personne ne saurait détruire, ni ravir.
Car, immortelle, elle rejoint sans lieu d’éternité,
Un espace secret, hors du temps, hors de la réalité,
Un royaume où ni la douleur ni le temps n’ont cours,
Où la vie se réinvente dans un souffle d’amour.
Nul ne sait ici-bas où elle séjournera,
Dans quels champs étoilés elle reposera,
Dans quel jardin de lumière elle se posera,
Ou bien sous quel ciel elle brillera.
Ce mystère est vôtre, c’est à vous de le découvrir,
Dans le fil de votre vie, sans jamais fuir.
Car c’est notre vie qui déterminera la suivante,
Nos gestes, nos choix, notre âme vibrante.
Chaque pensée, chaque amour, chaque acte posé,
Nous guidera vers ce lieu, vers cet éternel reposé.
N’ayez crainte du passage, il n’est que transition,
Il n’y a pas de fin, juste une autre dimension.
Que chaque instant soit une quête sincère,
Un chemin vers la lumière, loin de la terre.
Car dans l’au-delà, nous saurons enfin,
Que nous avons vécu, non dans un corps, mais dans le divin.
(ACJ)
